C’est dans le noir que la magie opère. Une faible lumière vous attire tel un papillon de nuit vers une mystérieuse maison. Derrière ses motifs finement découpés et son architecture traditionnelle, cette bâtisse cache de nombreux secrets. Libre à vous de venir les découvrir...
Cette maison ne livre rien d’emblée ; elle demande au spectateur de s’approcher, d’observer à son tour.
Libre à chacun d’y entrer, d’en révéler les secrets, ou simplement de se laisser traverser par sa lumière.
Ici, le papier se fait matière habitée. Chaque motif, chaque mur, chaque fenêtre raconte une part de l’histoire sans jamais la livrer complètement.
La lumière traverse la structure comme un souffle révélateur.
Cette œuvre parle du regard et de la distance, de cette tension entre voir et imaginer.
On n’entre pas vraiment dans la maison : on y projette son propre récit, ses souvenirs.
C’est un espace ouvert à l’interprétation, un théâtre silencieux où la lumière devient le seul langage.
Libre à chacun d’y entrer, d’en révéler les secrets, ou simplement de se laisser traverser par sa lumière.